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Maison La psychologie Le chemin vers soi ou le chemin vers le succès : faut-il choisir ?

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Le chemin vers soi ou le chemin vers le succès : faut-il choisir ?

Si l’on divise tous les individus en deux camps théoriques sur la base de ce principe, il y aura inévitablement des désaccords entre eux. Les « Achievers » ne comprennent pas pourquoi l’action pour l’action, et ils peuvent voir de la paresse et un manque d’ambition dans la « focalisation sur soi ». Les personnes qui s’en tiennent à une vie lente sont susceptibles de décourager le don – elles peuvent considérer la fixation d’objectifs comme une course dénuée de sens qui draine les ressources au profit d’un résultat fantôme et de l’approbation sociale. Et la vérité, comme d’habitude, se trouve quelque part au milieu.

Comment fonctionne la fixation d’objectifs ?
Nous tombons dans le mécanisme « je me fixe un objectif – j’y vais – je me réjouis du succès » dès l’enfance : nous prononçons nos premiers mots et voyons la joie sur le visage de nos parents, nous apprenons à lire et à écrire, nous apportons la preuve de notre productivité sous la forme de notes scolaires, nous recevons des certificats et des remerciements, si ces notes sont bonnes. Le psychisme comprend très tôt le fonctionnement de cet algorithme : « Je fais quelque chose et j’essaie ➡️ Je m’améliore au fil du temps ➡️ J’obtiens une récompense ».

Au fil des années, les choses se compliquent : nous avons besoin de plus en plus d’incitations exceptionnelles pour ressentir le goût sucré de la victoire. Avec l’expérience et les compétences, nos exigences augmentent – il est beaucoup plus difficile de s’épanouir en tant que spécialiste ou de maîtriser une compétence au niveau expert que d’apprendre à faire ses lacets. Mais le mécanisme reste le même : nous aimons toujours atteindre des sommets. Cette caractéristique peut nous aider, nous inspirer et nous motiver, mais elle peut aussi être à l’origine du perfectionnisme, de l’insécurité et des peurs.

Les histoires de réussite d’autres personnes peuvent motiver une personne si elles renforcent sa confiance en elle-même et en ses propres forces. Par exemple, il lit que quelqu’un d’autre – quelqu’un comme lui, avec les mêmes ressources et les mêmes moyens – a été capable de réaliser quelque chose d’exceptionnel. Il y a donc une chance ! Il peut donc le faire lui aussi ! Ce n’est pas pour rien que dans ces récits, les auteurs évoquent les difficultés qu’ils ont rencontrées : relations abusives, enfance difficile, difficultés financières, erreurs, échecs. Le lecteur est « contaminé » par la détermination du héros : « Cela n’a pas été facile pour lui, mais il s’est fixé un objectif et a travaillé pour l’atteindre. Tout a marché, et moi aussi je peux refaire ce chemin, si je suis suffisamment cohérent et déterminé ». Je pense qu’il s’agit là d’un bon tremplin pour démarrer une activité : une personne réalise que ses ressources sont déjà suffisantes par défaut et commence à agir.

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